Alicia Keys et son mari Kasseem Dean s’initient à la langue arabe en Egypte

Ils forment un couple de touristes glamour, Alicia Keys, l’artiste virtuose de Harlem, et Kasseem Dean, alias Swizz Beatz, son mari multi-casquettes, à la fois producteur, rappeur et designer à succès, qui se plaît à répéter que « Seul Allah, Le plus Grand, est son patron », ont posé leurs valises au Caire, avides de découvrir les merveilles de l’Egypte Eternelle.

Accompagnés de leurs deux jeunes enfants, Egypt et Genesis, ils ont pleinement profité de ce dépaysement enchanteur dans la chaleur aoûtienne, peinant à détacher leur regard des sites d’exception et autres trésors architecturaux que recèle le pays des pharaons.

Un séjour placé sous le double signe de la détente en famille et de l’enrichissement culturel, qu’ils ont conclu de manière très instructive en participant activement à un cours d’initiation à la langue arabe.

Filmée par son époux lors de leur halte à Aswan, au sud du pays, considérée comme la porte de la Nubie, Alicia Keys apparaît à l’écran en train de réciter l’alphabet arabe en cadence, à mesure que la baguette du professeur montre les lettres mais aussi les chiffres à prononcer, dans une ambiance joyeuse et stimulante. On aperçoit ses deux enfants se tenant debout, à côté du tableau, et Kasseem Dean en tenue traditionnelle, s’appliquant à travailler sa prononciation.

« Il y a tellement de choses à voir en Egypte, tellement de choses à savoir, à découvrir, tant de façons de s’enrichir, de s’élever, j’attendais ce moment depuis longtemps », s’est enthousiasmée la talentueuse auteur-compositeur-interprète américaine sur Instagram.

Un bonheur partagé au centuple par son mari, lequel était impatient que ses deux fils soient en âge d’appréhender le monde qui les entoure pour entreprendre ce fascinant voyage avec eux, au cœur de l’Egypte ancienne.

« Je voulais qu’ils sachent à quel point nos ancêtres étaient incroyables ! Les premiers astrophysiciens, scientifiques, médecins, mathématiciens, architectes… C’est une bénédiction de savoir que nous sommes coupés de la même étoffe ! »