Allah m’a appelé

je suis un jeune ivoirien qui habite le quartier Gonzagueville dans la com- mune de PORT-BOUËT. Je suis issu d’une famille modeste où mon grand- père est idolâtre et mes géniteurs sont des chrétiens. En effet, après mes études secondaire, par manque de moyens fi- nancier, je n’ai ni eu la chance de conti- nuer mes études encore moins avoir une place dans la société. Il m’est donc venu à l’idée de me lancé à l’aventure. Car pour moi l’eldorado sera une aubaine pour changer ma vie et celle de mes pa- rents. Je veux risquer ma vie, si ça marche pas, c’est la volonté de Dieu”. Malheureusement les difficultés du dé- sert ont eu raison de moi. C’est le début d’un long calvaire ou j’ai été obligé de faire des travaux forcés pour avoir un peu de moyens pour retourner à Abidjan. Le bonheur tant espéré de voir l’Europe fut un cauchemar car je n’ai pas eu la chance de franchir le détroit de Gibraltar. Cependant, après mon échec, j’ai pu re- joindre mon pays grâce au programme de rapatriement du gouvernement ivoi- rien. De retour chez moi, mes parents ont refusé de m’héberger car pour eux je suis un enfant maudit. C’est mon grand- père féticheur qui accepta de me loger. …………..Une nuit dans mon sommeil, une lumière m’est apparue, c’était une

personne dont je n’arrivais pas à distin- guer

le visage. Il me dit de me convertir à l’islam car c’est la meilleure religion. Je me suis réveillé en sursaut après cet étrange son songe. Des jours passèrent et une nuit de retour de mes balades noc- turnes je rentrai pour me coucher. Grande fut ma surprise de revoir le per- sonnage de mon songe en chair et en os. Il me dit n’ai pas peur, je suis Mouha- mad (SAW), c’est une chance pour toi de me voir car il y a des érudits qui prient pour avoir un jour la chance de me voir en songe mais en vain. Une fois en- core, je te demande de venir à la meil- leure religion. La porte de la miséricorde est grandement ouverte et t’attend. Nos échanges ont coïncidé avec l’appel du muezzin à la prière du matin. Dès qu’il disparut, je n’ai pas pu m’empêcher de courir voir l’imam de la mosquée de mon quartier pour ma conversion à l’Is- lam.

Aujourd’hui, Dieu merci je me suis converti à la religion musulmane et j’en suis fier. Chers frères et sœurs jeunes comme moi je tiens à vous dire que c’est Dieu même qui m’a guidé. Pratiquons donc cette belle religion qui est la meil- leure provision pour le rendez-vous avec Allah. Sachez que rien n’est tard si la vie se prolonge. Un lecteur