Sur le réseau social, l’enseignante n’hésitait pas à étaler toute son islamophobie : « l’Islam est le cancer de l’humanité », écrivait-elle. Ou encore : Alexandre Bissonnette, auteur de la tuerie à la mosquée de Québec, est un « prisonnier politique. » Sans oublier ses « like » sur des publication anti-immigration.
Mais les autorités éducatives du Québec avaient jusque là laisser passer sans broncher. Il a fallu un message de l’enseignante déplorant n’avoir que « trois petits Québécois » dans sa classe de vingt élèves pour que des sanctions soient enfin prises à son encontre par la Commission scolaire Marie-Victorin, qui a réalisé une enquête dont les résultats sont restés confidentiels.
Cet établissement s’est donc séparé de l’enseignante qui était retraitée mais réalisait des remplacements réguliers. Elle profitait de ses heures de cours pour diffuser ses idées racistes. Membre du parti nationaliste Front patriotique du Québec, l’enseignante ne risque pas de retrouver un poste de sitôt.
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