OUATTARA a mis à la disposition des chrétiens et musulmans tous les moyens à leur disposition
sur tout le circuit durant tout le séjour de Mina et Arafat
de telle sorte qu’aujourd’hui, les pèle- rins ivoiriens sont enviés par les autres pèlerins et par les prestataires de ser- vice Saoudiens.
pour rendre agréable leur séjour aussi bien à Lourdes, au Vatican, à la Mecque, à Médine qu’à Jérusalem. Au quotidien, le Président suit avec son conseiller spécial chargé des cultes, le dossier de chaque pèlerin et de chaque pèlerine. Dans le cas particulier des musulmans, ce dossier est le plus com- plexe tant il implique des milliers de nos compatriotes à transporter à plus de six mille Kilomètres (km) du pays. Avec une logistique financière et admi- nistrative tout aussi compliquée. Cependant grâce aux efforts des uns et des autres on peut affirmer qu’au-
Cet effort exceptionnel du Président Alassane Ouattara doit maintenant se reposer sur le pilier essentiel et incon- tournable d’une bonne organisation qui
jourd’ hui toutes
presque sont désormais réunies pour structurer au plan financier, écono- mique et administratif l’organisation du Hadj en Côte d’Ivoire. Si, tout d’abord, le Hadj est un rituel purement religieux et musulman, son organisation pratique implique nécessairement et inévitable- ment une logistique financière et éco- nomique sans commune mesure avec les autres pèlerinages religieux. Chaque année près de 6000 pèlerins quittent la Côte d’Ivoire par avion. Air
institutions de la République et des personnes privées et morales qui of- frent le pèlerinage à des musulmans.
sident Alassane Ouattara a permis entre autres :
1. l’intervention du Trésor Publique pour collecter dans toute la Côte d’Ivoire l’épargne des pèlerins de telle sorte que plusieurs mois avant le Hadj toutes les obligations financières des pèlerins soient réalisées ;
les conditions, ou
En outre en
est obligé de débourser des sommes importantes pour subventionner une partie des charges notamment au ni- veau du transport aérien et de l’héber- gement en terre sainte. Car dans la sous-région, alors que les pèlerins payent plus de deux millions FCFA en moyenne, ici par la volonté du Prési- dent Alassane Ouattara, le coût du pè- lerinage est bloqué à deux millions. Il n’est donc pas étonnant que des musul-
côte d’ Ivoire, seule
vols en Boeing 747. Les autres compa- gnies aériennes (Emirates, Turkish Airlines, Air Maroc….) se partagent le reste soit près de la moitié du contin- gent ivoirien. Onze Agences de voyage s’occupent des pèlerins après le contin- gent officiel. A Médine, et à la Mecque, une dizaine d’hôtels accueil- lent nos pèlerins.
Chaque pèlerins ivoirien du contingent étatique débourse officiellement 2 mil- lions FCFA avec en plus, des divers de l’ordre du même montant. Soit à peu près 4 millions par pèlerin. Ainsi glo- balement pour les six mille pèlerins, c’est la bagatelle de près de 24 mil- liards qui sont dépensés sur à peu près 45 jours. Et cela chaque année. Autre- ment dit l’épargne annuelle des musul- mans en Côte d’Ivoire devrait être au moins de 25 milliards FCFA.
Cela nécessite donc toute une logis- tique d’épargne indi