Voilà dix ans que Mélanie Georgiades plus connue sous le pseudo Diam’s a quitté la scène du rap français. Toutefois l’ex-rappeuse semblerait préparer son retour sur la scène publique. Et il semblerait qu’elle s’affaire à un domaine aux antipodes de la musique.
Depuis 2012, Melanie Georgiades a pris sa retraite, laissant derrière elle quatre albums et deux livres. Deux ouvrages littéraires où elle nous fait part de sa vie d’artiste et son cheminement vers l’Islam.
Une conversion à l’Islam qui reste l’un des points culminants de sa carrière au point de vue spirituel , selon ses écrits.
Mel by Mel
L’artiste aux divers tubes des années 2000 a tout de même gardé un lien avec son public, via les réseaux sociaux. En 2017, elle dévoilait un tout nouveau projet à but humanitaire, Mel by Mel.
Il s’agissait d’une marque de papeterie en édition limitée, qui proposait à ses fans un semainier et un carnet de notes, lancée par le biais d’une campagne de financement participatif.
Près de 68 500 euros avaient été récoltés sur les 30 000 euros nécessaires.
Tous les bénéfices des ventes réalisées ont été reversés à l’association Big Up Project, dont Diam’s est elle-même la fondatrice. Une association qui apporte notamment des « aides d’urgence pour les orphelinats en Afrique ».
Home by Mel
Elle a depuis quelques temps créé un nouveau compte Instagram pour partager sa nouvelle passion pour l’architecture et la décoration d’intérieur.
Le 25 décembre, sur Instagram, Diam’s a partagé une story de Volmar Manuel, célèbre designer à Marrakech. Une story dans laquelle on peut voir des vidéos d’appartement sur un logiciel de design intitulé « Work in progress », le tout précédé d’un tag qui renvoie vers le compte @home_by_mel.
Une artiste qui a plus d’un tour dans son sac
Et c’est sur cette page Instagram, que Mélanie se confie : « Avis à tous les amoureux de design et d’architecture, j’ai ouvert un compte afin de partager avec vous de nouveaux projets à venir dans ce domaine. Je vous parle de tout cela d’ici quelques mois.»
On découvre par ailleurs une story permanente, qui laisse la place à de probables et fortes suspicions artistiques, où l’on voit des ouvriers filmés en train de s’atteler à peaufiner divers matériaux.
Affaire à suivre …
ajib
