Par essence et par excellence, l’Islam traite toutes les questions qui touchent à l’homme, à sa vie terrestre et céleste y compris la thématique en vogue des droits humains qui, comme chaque année, ont été célébrés le mardi 10 décembre 2019 à travers le monde et en commémoration de la date de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Relativement aux droits de l’homme, la religion d’Allah a établi des règles simples et imprescriptibles en vue de favoriser le plein épanouissement de l’humain dans le strict respect des interdits divins. Toutefois, l’homme dans sa contestation légendaire de l’ordre naturel préétabli pour un pseudo mieux-être artificiel, s’est imaginé et a promu un concept qui transforme certaines de ses libertés naturelles en libertinages superflus par le biais de conventions, protocoles et autres instruments internationaux. Est-il ici besoin d’énumérer la myriade de textes internationaux qui abondent et consacrent parfois des antivaleurs, choquant souvent la majorité silencieuse au grand bonheur d’une minorité politiquement et financièrement puissante ? Un petit tour sur Google suffira pour s’en apercevoir. Malheureusement, les droits de l’homme, version communauté internationale, ne convergent pas toujours avec ceux institués par Allah au profit de ses créatures. Grave, il existe des achoppements sur des points essentiels tels que les limites du droit à la vie, à l’orientation sexuelle, aux libertés de disposer de son corps et autres. En pareille occurrence, le musulman se doit de faire la part des choses et éviter de suivre tout de go. Dans sa vie privée et ce dans la mesure du possible, il doit s’efforcer d’appliquer l’amplitude des prescriptions divines sur toutes les questions de la vie. Quant à sa vie publique ou sociétale et en dehors de toutes contraintes spécifiques, il doit s’empêcher de faire la promotion des droits de l’homme qui sont contraires aux exigences de sa foi. Mieux, il lui revient de marquer sa désapprobation avec sagesse et fermeté à l’égard de toutes ces libertés moralement funestes. Vive les droits de l’homme qui demeureront bénéfiques sur terre et dans l’au-delà !
Par Hassan