Que ne feraient pas nos gouvernants pour nous impressionner? Devant un plat de garba, voici la vidéo du Premier ministre ivoirien, Patrick Achi, au « garbadrome”, qui fait sensation sur la toile.
Le garba est un plat populaire ivoirien à base de semoule de manioc, appelée attiéké, accompagnée du poisson thon, essentiellement vendu dans de petites échoppes de la capitale économique ivoirienne. C’est cette identité de la cuisine ivoirienne qui a attiré le chef du gouvernement dans un « garbadrome » dans un contexte de lutte contre la cherté de la vie en Côte d’Ivoire. Dans une vidéo, l’on voit Patrick Achi, accompagné de ses collaborateurs, réunis devant ce plat adoré par les consommateurs ivoiriens.
Très décontracté dans une chemise blanche, on le voit ôter sa bavette pour déguster le plat devant la foule accourue pour assister à ce spectacle inédit. La présence du Premier ministre répond à une nécessité; le plat réservé aux classes populaires est en passe de devenir un luxe tant le prix du thon augmente (en raison des difficultés d’approvisionnement dues à la surpêche) et à la rareté du manioc qui en est l’élément de base. La légende populaire prétend que c’est un Nigérien dénommé Garba qui a introduit ce plat en Côte d’ivoire dans les années 90. Bien qu’il ne soit pas toujours préparé dans des conditions d’hygiène strictes, le garba est progressivement parvenu aux papilles de toutes les classes sociales… Même ceux qui ont réussi dans la vie, aiment en manger pour « se rappeler les premiers moments où la vie était plus compliquée » pour eux.
Rassasiant et très bon marché (moins d’un euro le plat), le garba, apparu dans les années 90, est consommé dès le petit-déjeuner par les classes modestes. Le thon est frais et frit sur place. Il est ensuite découpé de façon à proposer une variété de morceaux à des prix divers, en fonction du pouvoir d’achat du client. Le garba est devenu le plat fétiche des étudiants qui ne peuvent pas se payer trois repas par jour.
Il resterait à vérifier si cette consommation impacte les résultats scolaires parce qu’il se dit que le garba fait dormir, surtout lorsqu’on y ajoute un cube Maggie écrasé et un peu de l’huile de friture dont les clients raffolent. Vivement, que le garba ivoirien ait encore de beaux jours devant lui pour le bonheur des ivoiriens qui font face à une flambée des prix sur les marchés en Côte d’Ivoire.
Rassasiant et très bon marché (moins d’un euro le plat), le garba, apparu dans les années 90, est consommé dès le petit-déjeuner par les classes modestes. Le thon est frais et frit sur place. Il est ensuite découpé de façon à proposer une variété de morceaux à des prix divers, en fonction du pouvoir d’achat du client. Le garba est devenu le plat fétiche des étudiants qui ne peuvent pas se payer trois repas par jour.
Il resterait à vérifier si cette consommation impacte les résultats scolaires parce qu’il se dit que le garba fait dormir, surtout lorsqu’on y ajoute un cube Maggie écrasé et un peu de l’huile de friture dont les clients raffolent. Vivement, que le garba ivoirien ait encore de beaux jours devant lui pour le bonheur des ivoiriens qui font face à une flambée des prix sur les marchés en Côte d’Ivoire.
Rassasiant et très bon marché (moins d’un euro le plat), le garba, apparu dans les années 90, est consommé dès le petit-déjeuner par les classes modestes. Le thon est frais et frit sur place. Il est ensuite découpé de façon à proposer une variété de morceaux à des prix divers, en fonction du pouvoir d’achat du client. Le garba est devenu le plat fétiche des étudiants qui ne peuvent pas se payer trois repas par jour.
Il resterait à vérifier si cette consommation impacte les résultats scolaires parce qu’il se dit que le garba fait dormir, surtout lorsqu’on y ajoute un cube Maggie écrasé et un peu de l’huile de friture dont les clients raffolent. Vivement, que le garba ivoirien ait encore de beaux jours devant lui pour le bonheur des ivoiriens qui font face à une flambée des prix sur les marchés en Côte d’Ivoire.
Rassasiant et très bon marché (moins d’un euro le plat), le garba, apparu dans les années 90, est consommé dès le petit-déjeuner par les classes modestes. Le thon est frais et frit sur place. Il est ensuite découpé de façon à proposer une variété de morceaux à des prix divers, en fonction du pouvoir d’achat du client. Le garba est devenu le plat fétiche des étudiants qui ne peuvent pas se payer trois repas par jour.
Il resterait à vérifier si cette consommation impacte les résultats scolaires parce qu’il se dit que le garba fait dormir, surtout lorsqu’on y ajoute un cube Maggie écrasé et un peu de l’huile de friture dont les clients raffolent. Vivement, que le garba ivoirien ait encore de beaux jours devant lui pour le bonheur des ivoiriens qui font face à une flambée des prix sur les marchés en Côte d’Ivoire.